Entreprise
Reconnaissance : plus de la moitié des salariés français insatisfaits
54 % des salariés français estiment que la politique de reconnaissance menée dans leur entreprise n’est pas suffisante, selon une enquête réalisée par Fidal, l’Anact et Amplitude.
Plus de la moitié des salariés (54 %) s’estiment encore mal récompensés au travail. Ils ne sont que 9 % à considérer que la politique de leur entreprise fait ce qu’il faut en matière de reconnaissance.
Besoin de changement
Pour 57 % des répondants, la politique de reconnaissance peut être améliorée. Toutefois, ils ne sont que 13 % à anticiper un profond changement dans un futur proche.
Plusieurs formes de reconnaissance
Les entreprises mobilisent divers moyens de reconnaissance. 60 % privilégient la dimension monétaire (rémunérations, prime, etc.), 59 % celle organisationnelle (responsabilité, autonomie, promotion, …) et 27 % symbolique (cadeaux, médailles, célébrations, …).
Lampin, le
Pour l’employeur dont je suis salariée, aucune reconnaissance que cela soit monétaire, organisationnelles n’y symbolique ! Uniquement de la communication sur le développement, les résultats. Pas prise en compte de l’investissement dans le travail, l’épuisement à essayer de boucler les prises en charge et différences de traitement sans prise en compte de la qualification, de l’expérience et de l’investissement professionnel auprès des partenaires et de l’apport de connaissance autres que médico-social. Je ne crois pas que les choses vont évoluer favorablement, surtout avec la loi du travail. Mais bon les fourmis transpirent pour que les gestionnaires de frottent les mains. Ah la vie est belle !
Reconnaissance : plus de la moitié des s…, le
[…] 54 % des salariés français estiment que la politique de reconnaissance menée dans leur entreprise n’est pas suffisante, selon une enquête réalisée par Fidal, l’Anact et Amplitude.Plus de la moitié des salariés (54 %) s’estiment encore mal récompensés au travail. Ils ne sont que 9 % à considérer que la politique de leur entreprise fait ce qu’il faut en matière de reconnaissance. […]