Méritis, Davidson consulting, Decathlon : entreprises où il fait bon travailler
Le bien-être au travail n’est pas l’apanage des entreprises du numérique ou des firmes américaines…
Le bien-être au travail n’est pas l’apanage des entreprises du numérique ou des firmes américaines…
Plus de 8 salariés sur 10 souhaiteraient voir leur entreprise prendre en charge leur activité physique et sportive. C’est ce que rapporte un sondage réalisé par Corbett, service proposant des activités sportives aux entreprises.
Tribune – Alors que l’ambition du Compte personnel de formation (CPF) est de contribuer, à l’initiative de la personne elle-même, au maintien de l’employabilité et à la sécurisation du parcours professionnel, ce dispositif constitue également une formidable opportunité pour l’entreprise de faire preuve de dialogue.
Didier Pitelet a consacré sa carrière à l’accompagnement du changement, des relations humaines et à la communication. Il vient de publier le livre Le Pari de la culture, aux éditions Eyrolles, dans lequel il décrit différents modes de fonctionnement de société. Pour lui, la culture d’entreprise devrait être au cœur de chaque organisation car elle est responsable de l’adhésion du salarié à son groupe, ce qui est bénéfique pour les deux.
L’institut Great Place to Work publie une étude révélant les aspirations des salariés de moins de 30 ans. Résultats : ces derniers sont beaucoup plus optimistes que leurs aînés.
Le bien-être en entreprise, longtemps considéré comme un sujet mièvre ou privé, peut faire l’objet d’une véritable réflexion stratégique permettant de concilier responsabilité sociale des entreprises et performance économique. Un changement de paradigme validé par la “science du bonheur”, inspirante pour les organisations qui souhaitent réenchanter le travail. Par Sabrina Tanquerel, professeur de management des ressources humaines au sein de l’EM Normandie.
Il y a encore une quinzaine d’années, nos montres nous indiquaient la fin d’une journée de travail. La frontière entre vie professionnelle et vie personnelle était claire. Nous arrivions tous au travail à la même heure, 5 jours sur 7 et dans les mêmes locaux que nos collègues. Cette époque est aujourd’hui révolue…
Pratiqué dans certains pays comme la Suisse, le jobsharing consiste à s’organiser en binôme avec un autre salarié pour se partager un poste. Il permet d’offrir à la fois la possibilité de travailler à mi-temps tout en conservant une fonction d’importance au sein d’une entreprise. Néanmoins, le forfait jours et les dispositions du temps partiel rendent son application difficile en France.
La plupart des DRH sont complètement phagocytées par des processus administratifs lourds et la complexité croissante des obligations à tenir. Dans les structures décentralisées, assurer une démarche cohérente entre le siège et les filiales est un véritable enjeu : il est important de pouvoir partager les mêmes processus, les mêmes informations entre toutes les entités de l’entreprise pour garantir l’égalité de traitement entre les salariés. Par Emmanuel Cudry, président et co-fondateur de Coffreo.
Lorsqu’une entreprise est absorbée par une autre, elle se vide de son activité pour la transférer à la société accueillante. Cette opération s’appelle la transmission universelle de patrimoine (Tup). Si les contrats des salariés sont préservés en l’état, les accords collectifs négociés par la société absorbée sont mis en cause. Les explications de Jérôme Cordier, avocat à la cour.