La question de l’égalité des rémunérations entre les femmes et les hommes est un sujet qui fait toujours débat. Pourtant, selon une étude The Workforce View réalisée par ADP, trois salariés sur quatre, femmes hommes confondus estiment primordial de signaler les inégalités salariales dans leur entreprise.
Les entreprises de plus de 50 salariés devaient publier l’Index de l’égalité professionnelle le 1er mars. Muriel Pénicaud a dévoilé ce jeudi les premiers résultats de l’édition 2020 et les notes des entreprises de plus de 1 000 salariés. La situation s’améliore globalement.
Dans sa dernière enquête, Gender Scan revient sur la place des femmes dans l’économie numérique. Force est de constater que les résultats laissent apparaître un vrai décrochage.
Gras Savoye Willis Towers Watson, cabinet de conseil et de courtage, a analysé les “grandes tendances” qui animeront le monde des RH dans les mois à venir. Principalement, l’égalité professionnelle et la lutte contre l’absentéisme au travail.
À l’occasion des Assises de la parité organisées ce jeudi 20 juin, KPMG et l’association International Women’s Forum France se sont penchés sur la parité dans les entreprises non cotées.
Une étude de l’Apec révèle que de nettes différences entre hommes et femmes existent en début de carrière. Pourtant, ces résultats fluctuent au fil d’une carrière selon une étude publiée en mai 2019 par LinkedIn.
Alors que le gouvernement a institué un « index de l’égalité salariale femmes – hommes », ADP publie une étude sur le sentiment des salariés européens à l’égard de leur environnement professionnel. Elle nous apprend qu’en France, plus d’une femme sur deux envisagerait de quitter son emploi en cas d’inégalités salariales dans son entreprise.
Les entreprises devront désormais publier tous les ans un « bilan » de l’égalité salariale femmes-hommes, avec un score de 75/100 à atteindre – sans quoi elles risqueront une pénalité financière.
Selon Monster.fr, seules 34 % des jeunes françaises estiment avoir les mêmes chances que leurs collègues masculins. Et moins d’une sur trois estime être payée de manière équivalente aux hommes.