Rentrée de janvier : 3 à 4 jours de télétravail préconisés
Ce matin sur Europe 1, Elisabeth Borne a recommandé le passage à trois ou quatre jours de travail à distance dès le 3 janvier, pour limiter la progression de la pandémie.
Ce matin sur Europe 1, Elisabeth Borne a recommandé le passage à trois ou quatre jours de travail à distance dès le 3 janvier, pour limiter la progression de la pandémie.
Entre avril et décembre 2020, le sociologue François Dupuy a mené une enquête avec des entreprises sur le travail en temps de crise. Il revient sur les enseignements tirés en matière d’organisation du travail et de management.
Les accidents du travail ont baissé de 17,7 % en 2020, selon l’Assurance maladie. Mais ce chiffre est à mettre en relation avec la crise et le ralentissement de l’activité économique. Et si les maladies professionnelles ont aussi reculé, celles liées à des troubles psychosociaux ont explosé de 37 %.
Selon un sondage réalisé par Ipsos-Sopra Steria, 29 % des actifs ont bénéficié du télétravail en septembre, contre 17 % avant la crise du Covid-19. En majorité, ils souhaitent que la pratique continue de se développer.
Démotivés après les vacances d’été, les salariés le sont encore plus après un an et demi de crise du Covid, et face à la perspective d’un retour au bureau durable. Comment les DRH et les managers peuvent-ils remobiliser leurs collaborateurs ? L’analyse de Vincent Binetruy, Directeur France du Top Employers Institute.
Selon une étude de Gras Savoye Willis Towers Watson, l’absentéisme est en constante et forte hausse depuis 2016, et surtout en 2020. Une situation qui s’expliquerait par la crise du Covid-19.
À quoi ressemblera l’entreprise d’après le Covid-19 ? La crise peut servir de point d’appui pour améliorer le management des entreprises. Par Nicolas Bouzou
Le “motif de licenciement automatique” pour absence de pass sanitaire a été supprimé, mais pas la suspension du contrat de travail. Et l’employeur pourra toujours licencier son salarié pour d’autres motifs, nous expliquent deux avocats.
Le Parlement a adopté un projet de loi remanié. Si les salariés “récalcitrants” au pass sanitaire ne risquent plus d’être licenciés, ils peuvent toujours voir leur contrat de travail suspendu, sans rémunération. Un “congé sans solde” qui reste problématique, pour Mireille Dispot, secrétaire nationale de la CFE-CGC.
Le Parlement a adopté le projet de loi sur la gestion sanitaire. Ce texte remanié instaure la vaccination obligatoire pour certains salariés. S’ils ne risquent plus d’être licenciés s’ils ne sont pas vaccinés, ils devraient tout de même voir leur contrat de travail suspendu, ainsi que leur rémunération…