Les embauches de cadres reviennent à leur niveau d’avant-crise
C’est depuis ses locaux flambants neufs que les représentants de l’Apec ont dessiné un horizon plutôt optimiste pour l’emploi des cadres en 2022.
C’est depuis ses locaux flambants neufs que les représentants de l’Apec ont dessiné un horizon plutôt optimiste pour l’emploi des cadres en 2022.
S’il restera fortement recommandé, le télétravail à raison d’un minimum de 3 jours par semaine ne sera plus imposé par l’exécutif, comme l’a annoncé le Premier ministre Jean Castex.
D’ordinaire plutôt discrets, les IAE forment pourtant une grande partie des managers de demain. Le point sur les chantiers prioritaires des instituts en ce début d’année avec Eric Lamarque, président du réseau IAE France.
L’Observatoire annuel de la rémunération anticipe une augmentation de 2,5 % du budget des négociations annuelles obligatoires (NAO). Un moyen pour les entreprises de retenir leurs collaborateurs.
Une enquête menée par SD Work au niveau européen révèle une certaine satisfaction des salariés français pour leur travail. Ce qui ne les empêche pas de déplorer un certain niveau de stress.
Selon une étude réalisée par l’Ifop pour la fondation Jean Jaurès, la France permettrait un accès plus restreint de sa population active au télétravail.
Comment travaillerons-nous cette année ? Pour tenter de répondre à cette épineuse question, le cabinet Sowen a dégagé plusieurs tendances qui répondront aux attentes des collaborateurs et des organisations dans un mode de travail hybride qui promet de s’installer durablement.
Le ministre de la Santé, Olivier Véran l’a confirmé dans les colonnes du Journal du dimanche, la piste d’un pass sanitaire en entreprise est désormais écarté.
Alors que le télétravail fait partie du quotidien des entreprises et des salariés depuis deux ans, il redevient désormais obligatoire à raison d’un minimum de 3 jours par semaine.
En décembre, l’Insee observe une baisse de moral chez les dirigeants d’entreprise, qui s’avère variable selon les secteurs d’activité. Elle s’explique par les incertitudes qui perdurent face à la pandémie.